Dans le jeu, l’un des choix importants de début de partie va être pour le soviétique d’aider la guérilla grecque ou de la “laisser tomber”.

En Avril 47, l’événement “Partisans” proposera 3 choix au joueur soviétique :

• Demander aux partisans de déposer les armes
• Conserver le status quo
• Aider la guérilla

Le dernier choix transformera la Grèce en objectif majeur pour les deux camps : la tension montera au maximum et les partisans grecs seront survitaminés !

Demander aux partisans de déposer les armes

La guérilla disparait, mais vous gagnez une opposition dans le pays. Le DEFCON augmente, éloignant les comportements trop aggressifs de la part de l’Américain. Cette option est l’option historique, elle est à la fois sage (vous n’avez pas encore la bombe, donc un DEFCOn élevé est dans votre intérêt), tout en vous conservant des options d’action (vous avez une opposition dans le pays)

Conserver le status quo

La guérilla reste active mais perd les traits “soutien populaire” et “base extra territoriale”.

Historiquement, la guérilla après avoir perdu le soutien soviétique a eu la main lourde sur l’impôt révolutionnaire,  s’aliénant petit à petit les populations.

C’est une bonne option : le DEFCON reste stable et suivant l’évolution de la situation, vous conservez une option sur la prise de pouvoir.

Aider la guérilla

Le DEFCON sera si bas que l’IA risquera de jouer très aggressivement, ce qui est dommage car vous n’avez peut-être pas encore la bombe.

La Grèce passera dans la sphère d’influence Soviétique ET américaine : vous aasurant d’une lutte acharnée pour ce pays.

La force maximum des partisans grecs augmentera de 5, leur donnant une bonne chance de prendre le pouvoir.

Cette option est parfaite si vous voulez créer un “petit vietnam” pour occuper l’américain en le forçant  à dépenser une partie importante de ses ressources en Grèce.

 

Les partisans grecs

 

ils ont les traits : ‘marxiste’,’rurale’,’soutien populaire’,’base extra territoriale’, ce qui en fait une guérilla assez coriace, capable de se maintenir longtemps.

Le terrain montagneux de la Grèce est favorable à la guérilla et le gouvernement aura bien des difficultés à l’erradiquer sans aide extérieure.

Son maximum de puissance est 15, mais il passe à 20 si l’URSS décide de soutenir cette guérilla “à fond” : on peut l’expliquer par des volontaires bulgares ou yougoslaves se mêlant à l’occasion aux grecs pour leur prêter main forte.

L’intervention des autre pays

Ce qui est intéressant dans ce conflit, c’est que quelques pays non joueurs y participent :

• La Grande-Bretagne envoit un contingent pour défendre la Grèce
• La Yougoslavie soutient régulièrement la guérilla par des aides

 

Les 2 Grèces

Une des issues possibles de la guerre civile grecque, c’est le repli du gouvernement légitime sur l’Ile de Crète et la création d’un nouveau pays. Cela peut arriver quand la guérilla communiste prend le pouvoir.